On ne peut concevoir de détruire un patrimoine édilitaire qui contribue à l’attractivité du boulevard de Waterloo pour une fonction commerciale volatile. Les autorités communales et régionales ont, par le passé, laissé cette affectation prédatrice dévaster l’avenue Louise, elles ne peuvent accepter, aujourd’hui, que le commerce mal pensé soit l’outil de destruction du boulevard de Waterloo.