L’arrivée des trottinettes électriques partagées dans le paysage urbain suscite interrogations et réactions. On leur reproche d’être accidentogènes, d’encombrer les trottoirs, de ne pas être très écologiques… Toutes critiques fondées. Il n’empêche : quels rôles peuvent-elles remplir ? Comment les intégrer avec les pratiques existantes ? Comblent-elles des « vides » dans la politique de mobilité ? Peuvent-elles être des alliées dans le combat pour une mobilité « apaisée » et moins carbonée ?